Je commence donc une fan-fic aux airs de journal de bord.

Bonjour, je me nomme Antoine, et, alors que je jouais tranquillement sur mon ordinateur, je me suis retrouvé dans un monde étrange et cubique dont je vais vous parler à travers ce journal de bord, tout du moins si j’y survis.


Quand je suis arrivé ici, d’abord je n’ai pas compris. Je suis tombé par terre, me suis relevé, et observé le paysage autour de moi. J’avais très peur, aussi j’ai appelé à l’aide. Je me suis vite rendu compte que les seuls êtres qui m’entouraient étaient des cochons, des vaches et des poules. Je me suis dit que la première chose à faire, c’était de survivre. Je commence donc à avancer, et découvre à quelques mètres de moi un petit coffre en bois, entouré de quelques torches. Je trouve dans le coffre des rondins et plusieurs pioches en bois et une hache en pierre. J’ai tout pris, pioches, hache, bois, et même le coffre et les torches : ça pourrait toujours servir ? Je ne sais pas trop comment j’ai réussit à faire tenir tout ça mais bon, qu’importe. Il me fallait de la nourriture, aussi j’ai entreprit de tuer des vaches avec ma hache. Etrangement, il n’y avait pas de sang. J’ai du y passer tout l’après-midi. Après cela je suis tombé dans un trou ou j’ai trouvé du charbon, et un gisement de fer. J’ai miné tout ça avec ma pioche en bois, puis j’en ai fabriqué une en pierre. Je me suis fait une épée, une nouvelle hache et une pelle. J’ai aussi coupé un peu de bois en plus, puis j’ai vu que la nuit allait tomber.
J’ai creusé un petit trou dans le sol, et j’ai pu créer une petite maison souterraine. J’ai placé une porte à l’entrée, et j’ai posé un atelier et un four que j’avais faits avec du bois et de la pierre. J’ai mis du charbon dans le four et ai entrepris de faire cuire ma viande de vache. Pour m’aérer un peu, je sors dans le noir. Et soudain j’aperçois une sorte de « bipède » mais ce n’est qu’une silhouette. Je me dis que ma vision me joue des tours, et je re-rentre. Je décide de miner. Je creuse beaucoup avec ma pioche en pierre, puis je mange un peu, et je redescends. A minuit, au moment où je viens de trouver un beau gisement de fer, j’entends un bruit de fracas. Je remonte et je laisse échapper un cri. Un zombie -je le vois à sa chair putréfiée- essaie de défoncer la porte ! C’était donc ça la silhouette que j’ai aperçue ! J’essaie de barricader la porte, mais trop tard, le mort-vivant l’a déjà fracassée ! Je tente le tout pour le tout et dégaine mon épée. Chanceux, je parviens à le tuer et il disparait, laissant de la chair putréfiée à la place. Je couvre la porte d’une motte de terre, en laissant un petit trou pour voir le jour arriver, et je repars miner. J’ai peur, désormais.