Cela faisait plusieurs jours que j'avais envoyer ma fameuse réponse. J'attendais impatiemment la seconde réponse de l'expéditeur. J'étais prêt a mobiliser toute ma flotte. Quitte à laisser mon empire sans surveillance maritime. Je devais gagner cette bataille de grande envergure pour me faire respecter et craindre du monde entier. Je devais dévoiler la vraie puissance de mon empire, sa flotte gigantesque et invincible. Je me levai de mon trône, me dirigeai vers les rambardes et admirai le paysage jusqu'à se qu'un de mes gardes m'interpella, je me dirigeai vers lui, il répliqua :

- Des hommes vous cherchent monsieur, ils ont était neutralisés. Le traitement habituel monsieur, on vous les ramènent ?

- Oui, je suis curieux de savoir qui pourrais bien me chercher.

Quelques minutes plus tard, mes hommes ramenèrent trois hommes dont un très bien habillé, ils les fît s'agenouillés devant moi. L'homme au centre de mon intention parla :

- C'est comme-ça que tu accueil tes invités ? Dit-il en crachant à mes pieds.


Je me dirigeai vers lui et lui donnai une claque dans la tête, je répliquai :


- Un peu de respect, espèce de vieil estropié.

- Trêve de paroles, tu est invité à ton dernier combat. Et surtout, viens avec ta flotte au complet, sinon ce combat risque d'être rapide. 

- Et tu est qui pour venir ici et me parler sur ce tons ?

- Un homme très important dans la hiérarchie de Morrow.

Je dégainai mon pistolet et lui tirai une balle dans la tête. Son corps inanimé tomba à terre. Je détournai mon regard vers les autres et annonça :

- Rapporter son corps à vos supérieur, et préciser qu'il sera la dernière chose qu'il verrons.

Je fis signe à mes gardes d'attendre, pendant ce temps. J'écrivis une lettre à propos du fameux affrontement en haute-mer. Une fois terminé, je pris un couteau. Je mis allongé le cadavre de cet homme. Je plantai mon couteau dans son abdomen et ouvrai littéralement son torse. Je déposai la lettre enveloppé dans une serviette, fermai la chemise ainsi que l'imperméable de l'homme, histoire que les boyaux ne tombe pas directement à terre. Je fis signe à mes gardes de ramener ces deux hommes et leur supérieur mort à la sortie. Je jetai le couteau à terre et m'assis sur mon trône.


Plusieurs jours plus tard. Je décidai de passé à l'attaque. Je mobilisai toute la flotte pour cette bataille. Une fois les préparatifs terminés, une centaine de navires de guerre quittèrent le port. D'autres prirent un autre chemin. Nous devions gagner cette bataille. Je gardai la plus grande partie de la flotte sous la main. Je récitai mon plan seul :

- Donc. Nous allons garder la puissance de la flotte en première ligne. Une autre ligne sera à proximité de nos terres. Et deux autres lignes essayerons d'atteindre Morrow, l'une par la droite, l'autre par la gauche. Mais ces deux lignes vont devoir faire un détours à Morrow. Les navires de transport de soldats seront accompagné par des navires assez furtif et qui possèdent une puissance de feu exemplaire. C'est un plan qui nous assure la victoire. Il faut leur faire le plus de mal possible. 

Je décidai d'écrire une lettre à une personne digne de confiance et qui m'ai servis pendant de longues années, il doit reprendre le contrôle de mon empire si jamais je viendrais à mourir pendant cette bataille. Je fis détacher une barque et envoyai quelques volontaire amené cette lettre à l'ambassade, sur mon trône.


J'attendis, assis à terre, pendant une longue heure. Je regardai plusieurs fois la flotte de première ligne derrière mon navire. Elle était si imposante. J'admirai encore celle-ci jusqu'à ce qu'un matelot repéra un navire de reconnaissance droit devant nous.


Il fis machine arrière très vite. Nous lui tirâmes dessus avec nos canons sur pivots. Il coula très vite. Soudain, une vingtaine de navires foncèrent vers nous. Ces navires cachaient d'autres navires, ils étaient très nombreux, beaucoup trop nombreux. 
Je décidai de faire face tout de même, notre puissance de feu avait largement l'air supérieur  face à celles de leurs navires. Le nombre ne fait pas la force.


Je donnais l'ordre de faire pivoter les navires. Beaucoup de nos navires pivotaient, se qui donna un avantage incroyable au combat. Canons chargés et face à l'adversaire. Une fois les navires adverse à proximités, je donnai l'ordre de faire feu.
Un nuage gigantesque de boulets de canon, certains étaient des boulets rouges, c'est à dire enflammés. Le vacarme des explosions était assourdissant. Les boulets touchèrent les premières cibles. Certains navires coulèrent, des équipages à la mer. Une fois cette salve tirée. Un sifflement strident a s'en arracher les oreilles retentit. L'impact des navires était proche, imminent. Les navires adverse passèrent sur les côtés et pilonnaient les navires alliés. Il était impossible de s'entendre, les navires se percutèrent, se qui provoqua des réactions en chaîne. D'autres se faisaient aborder. Soudain, un navire percuta le miens. Plusieurs soldats ennemies sautèrent sur mon navire. Je pris mon épée et préparai mes armes pour ce combat.


Je descendis sur le pont et livrai une bataille sans merci contre les intrus. Quelques minutes interminables plus tard. Je donnai l'ordre de tiré malgré une distance très faible, même nul entre mon navire et l'adversaire. Le navire coula et la partie droite de mon bâtiment fût suite à cette attaque très endommagée. 


Le temps ne jouait pas en notre faveur, la mer était capricieuse, des vagues d'une hauteur incroyable approchaient du champ de bataille. Quand l'une percuta le côté gauche. Plusieurs navires fût balayé, des deux camps. L'un fût emporter par la vague et atterrit sur un autre. Une bataille digne des légendes les plus idiotes et irréaliste se déroulée devant mes yeux.


Une Vague arriva vers mon navire. Je m'accrochai aux rambardes. Soudain, la vague tapa le navire de plein fouet, plusieurs hommes furent emportés. Le navire percuta un autre. Je ne comprenais plus. Sur qui tirer, sur quoi ont tombaient, et pourquoi nous étions là. Mais malheureusement. Je repris conscience. Ma flotte se faisait massacré, et d'autres navires ennemies arrivaient, toujours plus nombreux. 


Quelques heures de combat acharné plus tard. Il ne restait plus grand chose de nos flottes. Je me retrouvai vite seul entouré de navires ennemies. Je compris vite que j'avais sous-estimé la flotte navale de Morrow. Et cette erreur pourrais me coûter la vie. Non seulement ma vie, mais la vie de plusieurs fous qui ont acceptés de participer à une mission suicide, mais aussi la vie de mon empire. Espérons que mon prodige revienne assez tôt accompagné de sa flotte personnel, pour sauver se qu'il reste de l'empire.


Quand je compris et que mes hommes comprirent que nous avions perdus. Beaucoup tentèrent de quitter le navire. Mais les barques que je libérais se faisaient massacré quelques minutes après. Certains priaient. Quant à moi, je décidai de retourner dans mes quartiers, et terminé l'écriture de ce livre.
Je regardai par les fenêtres, et vis des navires, partout, prêts à faire feu. Prêts à nous achever comme des loups prient dans un pièges à ours. 


C'est ainsi que se termine mon histoire, je ne regrette rien. Même si nous n'avons pas toujours eux de bons objectifs, même si j'ai quelques fois douté des Hérault, je ne regrette rien. Je sais que mon nom sera gravé à jamais dans la pierre, que mon nom, soit écrit en gras dans les livres. Que mon portrait soit conservé dans les musées. Je suis fier de mon parcoure. Mais je n'oublis pas les personnes qui m'ont accompagner. Aaron, un homme incroyablement fort et déterminé, Hamus Tarek, un vieil homme qui a malheureusement connus quelques batailles entre Hérault et Elus, ma fille, qui, j'espère, grandira dans de bonnes conditions, loin de moi et de ce que j'ai créer.

Haytham Hil.